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L’eau est une source vitale pour l’être humain, abondant à la surface de la Terre, nous l'utilisons pour toute sorte de besoins et de tâches.
Ça coule de source !
Dans une infrastructure telle qu’une maison écologique, elle répond plutôt à un but sanitaire et ménager qu'à un besoin vital ou un besoin de production d’électricité.
Aussi, l'eau est très important dans notre monde Occidental. En effet, celle-ci nous sert à nous laver ou bien à laver mais elle peut aussi être tout simplement consommée.
L'eau est principalement utilisée dans trois domaines : dans le domaine agricoles, industrielles et domestiques.
Utilisation Agricole : 69 %
Utilisation Industrielle : 23 %
Utilisation Domestique : 8 %
Le développement des activités humaines augmentant, il influence de manière significative l’utilisation de l’eau dans le monde poussant celle-ci à augmenter elle aussi.
Nous pourrions alors nous demander pourquoi devrions-nous réduire notre impact sur l’eau en terme d’utilisation et en terme écologique.
Comme citée au-dessus, l’eau est une source vitale pour l’Homme, donc sans eau « douce », l’être humain serait au début d'une « crise ». Ainsi, les peuples du tiers Monde ne resteront pas très longtemps à la surface du globe.
Ça serai ballot non ?
D’une autre part, le problème est que les réserve d’eau potable dans le monde sont estimées à 2.1% de l’eau sur Terre et 0.7% sont disponibles soit environ 0,028 % de l’hydrosphère.
Egalement, la production de rejets polluants impactent la qualité de l’eau et donc à long terme voir à court terme, cela conduirai à n’avoir plus aucune réserve d’eau douce potable.
Entre l’utilisation sans cesse croissante de l'eau par ces trois secteurs,
D'autre part, même si elle est souvent rejetée après son usage, l’eau peut être ensuite rendue à la nature dans son état dégradante. Cette eau est donc polluée par les activités humaines, toutefois même si celle-ci est traitée, elle contient encore des signes de pollution dû à son utilisation ou même dû à son traitement.
Toutefois, de légères diminutions de la consommation en eau sont observées depuis quelques années en Occident sur le secteur Domestique.
Cependant, même si l’utilisation de l’eau par le domaine domestique ne représente que 8% et que celle-ci a tendance à diminuer en Occident, les experts prévoient ainsi 40% d'augmentation de la consommation d'eau dans le domaine domestique d'ici 2025 dû au pays émergent et au réchauffement climatique.
Réduire la consommation mondiale en eau est donc une question planétaire.
Sinon nos projets d’un meilleur monde tomberont à l’eau.
Sans tarder sur les réserves d’eau citées au-dessus, nous allons rester au niveau de notre maison écologique.
Il existe différentes sources d'eau que nous pouvons capter sans que nous ayon le besoin de la faire venir à nous. Aussi, ces énergies se trouvent souvent à proximitées de nos maisons.
Par exemple, il y a les nappes phréatiques toutefois règlementées mais aussi l'eau de pluie qui vient à nous sans que nous ayons besoin de la capter.
Nous pouvons donc limiter l’impact de nos structures sur l’environnement en prenant le cas l’eau de pluie.
L'utiliser et peut-être même la recycler pour la réutiliser.
La récupération de l'eau de pluie possède de nombreux avantages.
En effet, en récupérant l’eau de pluie nous n'avons plus besoin de recourir aux produits d’entretien chimiques. De plus, l’eau de pluie récupérée est douce.
Ensuite, sur le plan économique, le système de récupération d'eau de pluie est une solution économique fiable et rapide face à la hausse permanente du prix de l’eau.
Enfin, en sachant qu’un consommateur français utilise en moyenne 150 à 200 litres d’eau par jour, récupérer l’eau de pluie est une alternative permettant d’économiser 50 % de la consommation d’eau.
Ensuite après utilisation, au lieu de renvoyer l'eau dans la nature ou de l'envoyer vers des stations d'épurations, nous pouvons utiliser des micro-stations d'épuration.
Une micro-station d’épuration est une solution de traitement des eaux usées dans le domaine domestique (douche, toilette, lavabo, etc.). Elle fonctionne selon le même principe qu'une station d’épuration urbaine, grâce à un procédé à culture libre, dit « à boue activée » ou à culture fixée.
Ces procédés de traitement à boues activées sont écologiques dans la mesure où ils n’utilisent aucun produit chimique pour traiter les eaux usées. Les micro-stations sont également sans odeur car il n'y a pas de fermentation prolongée.
La première étape est de filtrer l’eau, les plus « gros morceaux » seront ainsi arrêtés par le filtre et il ne restera plus que des micro particules qui seront eux aussi filtrés à leur tour.
Ensuite, nous pouvons laisser l’eau « se reposer ». Elle est suivie d’une décantation, les éléments comme les boues ou d'autres éléments plus denses que l’eau tombe au fond, les huiles et les produits domestiques étant moins denses que l’eau, ils remontent à la surface.
Une fois se procédé accomplie, nous obtenons de l’eau à laquelle il reste de la pollution. Nous y incomposons alors des bactéries avec de l’oxygène pour qu’elles puissent vivre et dégrader la pollution et donc rendre l’eau potable.
Le principe est de dégrader la matière organique (en suspension ou dissoute dans les eaux usées) principalement par des bactéries (dont bactéries filamenteuses), qui seront elles-mêmes mangées par des micro-organismes (protozoaires, qui sont surtout des ciliées, en partie responsables de la floculation et source de clarification progressive de l'eau).
Le brassage permanent du milieu permet un meilleur accès des bactéries aux particules et une aération importante nécessaire à la pérennité du système de biodégradation (seule la pollution biodégradable peut être ainsi traitée). Il est suivi d'une décantation à partir de laquelle nous renvoyons les boues riches en bactéries vers le bassin d'aération.
Enfin, après avoir décanté la boue riche en bactérie, il ne reste plus qu’une eau propre qu’il faudra de nouveau traiter pour qu’elle soit de nouveau potable.
Le procédé à boues activées à quatre objectifs :
Tout d'abort, celui-ci sert à éliminer la pollution carbonée (matières organiques).
Ensuite, ce procédé sert aussi à éliminer une partie de la pollution azotée.
Par ailleurs, il permet aussi de fixer le phosphore dans la matière décantée.
Enfin, il permet de stabiliser les boues (procédé dit « d'aération prolongée » ou « digestion aérobie »).
Cela est bien beau, mais, pour satisfaire nos besoins après une longue journée de travail ou bien pour faire la vaisselle ou tout simplement faire une autre tâche ménagère, l’eau chaude est souvent préférée à l’eau froide.
Des solutions existent, des solution écologique et très simple.
L’utilisation de panneaux solaires thermiques.
Ils transforment la lumière en chaleur, le plus souvent pour des chauffe-eaux.
Le principe est simple, les rayons du soleil passent d'abord par une plaque de verre transparente à la lumière. Sous ce verre, un absorbeur noir (plaque de métal recouverte d'une fine couche de chrome) absorbe 80 à 90% des rayons lumineux. L'absorbeur transforme ces rayons lumineux en chaleur, grâce au transfert thermique par rayonnement.
En s'échauffant, l'absorbeur émet des infrarouges. Ces infrarouges sont bloqués entre la plaque de métal et la plaque de verre, c'est le principe de l'effet de serre. Ainsi, l'air entre les deux plaques s'échauffe et améliore le rendement.
Par conduction, l'énergie thermique ou chaleur de l'absorbeur est transmise à un circuit d'eau (c'est le liquide caloporteur). Celle-ci s'échauffe et est ensuite acheminée vers un ballon d'eau chaude à l'aide d'une pompe, ou bien par la simple gravité.
Dans l'accumulateur, le liquide caloporteur chaud parcourt un circuit et transfère sa chaleur à l'eau domestique.
Ensuite, le liquide caloporteur chaud qui sort des tuyaux va dans le chauffe-eau et transmet son énergie thermique (chaleur) à l'eau sanitaire présente dans le chauffe-eau.
Lorsque l'ensoleillement n'est pas suffisant pour amener l'eau à bonne température, le chauffe-eau est aussi relié à une chaudière d'appoint pour suppléer le panneau. Cependant, celle-ci fonctionne uniquement en cas d'insuffisance énergétique du panneau.
